1- L’Ordre Équestre et Patriarcal du Saint Nom du Paraclet tient sa filiation et sa légitimité des origines des Ordres de Chevalerie en occident.

La légitimité de l’Ordre Équestre et Patriarcal du Saint Nom du Paraclet se tient sur la succession apostolique de Sa Sainteté Nicolas 1^er, Patriarche de l’Église Orthodoxe et autocéphale des Nations (autrement nommé, « Patriarcat Orthodoxe des Nations »).

2- Le Grand Maître de l’Ordre Équestre et Patriarcal du Saint Nom du Paraclet est légitimé et reconnu par Sa Sainteté Nicolas 1^er, Patriarche de l’Église Orthodoxe et autocéphale des Nations (autrement nommé, « Patriarcat Orthodoxe des Nations »).

Grâce à cette nomination, U.M.S.S. Cristian Anjali Kirian Souyri, Grand Maître de l’Ordre Équestre et Patriarcal du Saint Nom du Paraclet avec droit au prédicat de Monseigneur en tant que souverain princier de l’Ordre, possède tous les droits relatifs aux Ordres de Chevalerie datant des Grands Maîtres de l’Ordre de chevalerie lors de l’Empire romain dans l’antiquité.

3- Le Grand Prieur de l’Ordre est le Dignitaire de l’Église reconnaissant l’Ordre Équestre et Patriarcal du Saint Nom du Paraclet :

Sa Sainteté Nicolas 1^er, Patriarche de l’Église Orthodoxe et Autocéphale des Nations (soit sous le nom de, Patriarcat Orthodoxe des Nations).

Conjointement au Grand Maître de l’Ordre, il a tout pouvoir sur l’Ordre dans le domaine ecclésiastique, orientation de l’Ordre et de légitimité de l’Ordre.

L’Ordre Équestre et Patriarcal du Saint Nom du Paraclet, est déclaré en préfecture de Toulouse.

LE DROIT IMPERIAL ROMAIN

& LE DROIT INTERNATIONATIONAL INTEMPOREL

Les Origines des Ordres de Chevalerie en occident

Le Droit impérial romain date de l’antiquité lors du Premier et du Second Empire romain.

Qu’est-ce qu’était l’Ordre de Chevalerie à cette époque ?

Question que toute personne s’intéressant aux vraies origines de cette mouvance devrait se poser et savoir y répondre en tant que Souverain de l’Ordre.

L’Ordre de Chevalerie n’était ni plus, ni moins, que l’armée spéciale de l’Empereur romain.

Les romains étaient, pour l’époque, très organisés.

Afin de préserver une force spéciale, les Empereurs romains créèrent alors, l’Ordre de Chevalerie.

C’étaient en général des personnes assez proches de l’Empire, aisé et surtout près à prêter allégeance, serment de loyauté et de soumission à son Empereur.

Pour y accéder, une dote plus ou moins importante était demandé.

Le Principe de l’Ordre de Chevalerie était d’avoir les mêmes valeurs, la même éthique avec l’ensemble des membres de l’Ordre.

Ces valeurs et cette éthique était : Fidélité, Loyauté, Obéissance, Courage, Combat, Défense, Protection, etc. L’éthique était davantage vertueuse que malsaine.

Pourquoi le terme d’Ordre ?

Ce terme était très utilisé pour donner une consonnance d’uniformité et pour donner une définition martiale.

En effet, l’Ordre de Chevalerie est un Ordre martial, autrement dit, un Ordre militaire.

Pourquoi le terme de Chevalerie ou Chevalier ?

Ce terme est issu de celui de « cavalier ».

Tout membre de l’Ordre de chevalerie de cette époque, doit savoir monter à cheval. Car, c’est le principe-même de l’Ordre.

A cette-même époque, qui était le dignitaire suprême de l’Ordre de chevalerie ? Qui adoubait ? Y-avait-il une religion donnée à l’Ordre de chevalerie ? Enfin, comment les adoubements étaient effectués ?

Beaucoup de monde se font de fausses idées sur les origines des ordres de chevalerie. Beaucoup, pense que cela viendrait de l’Ordre du Temple fondé par trois chevaliers français et illettrés. Mais il n’en est rien de tour cela.

Les Ordres de Chevalerie prennent leur origine aux temps ancien de l’antiquité romaine, plus précisément lors du Premier et Second Empire romain.

L’Ordre de chevalerie relevant expressément du Droit impérial romain de l’époque. Le seul vrai dignitaire suprême de l’Ordre était l’Empereur en personne en portant le titre de Grand Maître de l’Ordre. Pourquoi ? Le Maître de l’Ordre était son second au sein de l’Ordre.

C’est pour cela que chaque membre de l’Ordre était adoubé par l’Empereur ou par le Maître de l’Ordre lorsque l’Empereur, Grand Maître de l’Ordre lui donnait autorisation par Patente ou Décret.

Une notion primordiale de l’Ordre de chevalerie à l’époque, c’tait la notion de laïcité au sin de l’Ordre de chevalerie.

En effet, cette conception de laïcité, existait déjà à cette époque. Seulement, elle n’interdisait pas les religions ou la représentation du culte. Mais elle acceptait l’ensemble des cultes sans distinctions, du moment où le membre faisait preuve de soumission, de loyauté et de fidélité au dignitaire suprême de l’Ordre.

L’Ordre était donc areligieux.

A cette époque-ci, les adoubements en chevalerie, n’était pas codifié (ou ritualisé). Cela commencera à être codifié lors de la création du Pontificat selon Guillaume Durant. Mais pas avant la période féodale.

Des Origines des Ordres de Chevalerie à nos jours

A l’époque, malgré le fait que les premiers chrétiens et évêques furent poursuivis par l’Empire de l’époque, les Empereurs furent exception de certains évêques.

Pourquoi faire exception de certains de certains ?

Si l’Empire romain était si puissant tant militairement que financièrement, c’est parce que cette civilisation n’avait pas peur de voir loin. Mais surtout parce qu’ils couvraient sans cesse les arrières dans n’importe quel domaine que ce soit.

Un des objectifs de cette civilisation romaine : de permettre la continuité de l’Empire aux temps futures.

Pour ce faire, ils utiliseront peu à peu la Succession Apostolique des Évêques chrétiens.

Grâce à cela, ils léguèrent peu à peu presque l’intégralité du Droit impérial romain aux seuls évêques chrétiens et apostoliques de l’époque.

… à nos jours …

La succession apostolique est inscrit dans le Droit international intemporel.

Aujourd’hui, seuls les Évêques, Papes et Patriarches orthodoxes ont une succession apostolique.

Qu’est-ce qu’une succession apostolique ? C’est tout simplement, via un rituel et des documents légaux signés conformes, la reconnaissances officielles et légitimes des représentants des Premiers Apôtres tout au long des générations et des siècles.

En se rappelant que les Ordres de chevalerie sont légués aux seuls évêques de l’époque de l’antiquité romaine dans l’Empire romain, de nos jours, pour avoir une reconnaissance légitime et pour pouvoir conférer les titres en chevalerie, il faut obligatoirement avoir l’appui, la reconnaissance et légitimité d’une Église chrétienne et apostolique émanant uniquement d’un Évêque, du Pape ou d’un Patriarche Orthodoxe.

EVEQUE – PAPE – PATRIARCHE ORTHODOXE |  QUI SONT-ILS ?

A l’origine de la chrétienté avant d’être catholique-romaine, elle était Orthodoxe dont son berceau et sa langue d’origine était l’araméen langue d’origine de Jésus.

Les Orthodoxes ne sont pas nés courant la période médiévale, comme certains veulent le croire. Mais bien avant cela.

… avant l’orthodoxie …

Avant l’orthodoxie, existait simplement un clergé qui regroupait :

1. Des Diacres,
2. Des Prêtres,
3. Des Évêques.

Il n’existait personne au-dessus des Évêques.

… l’orthodoxie …

C’est par la suite qu’eu existait un Évêque principal pour chaque tribu chrétienne.

Ces tribus prirent rapidement l’intitulé de Patriarcat et l’Évêque en charge de ce Patriarcat, s’appellera Patriarche.

Patriarche est issu à l’origine du terme utilisé pour le chef de famille. Donc, nous pourrions le traduire comme : Père de famille.

Patriarcat désigne à l’origine une famille. Qui par la suite sera utilisé pour désigner une tribu indépendante chrétienne.

… la chienneté dite catholique-romaine …

Parlons un peu de l’origine de la papauté…

Selon l’Histoire chrétienne et féodale, le Pape n’a pas toujours été ce qu’il est aujourd’hui.

Il prend ses origines d’un simple représentant de foi. Sans obligation de sacerdoce ou de titre.

Il fut un temps, un simple fidèle pouvait être élu Pape. A cette époque, c’est le Premier Évêque de Rome qui dirigeait l’Église chrétienne catholique dite de Rome.

C’est plus tard dans le temps que l’on demande aux Papes d’être Évêque pour accéder au Trône pontifical. C’est encore par la suite, que le Pape prit également le titre de Premier Évêque de Rome avec pouvoirs et prérogatives qui s’y rapportent.

Dans un temps futur, il endossera également des fonctions de gouvernement avec le micro-état qu’est le Vatican. A ne pas confondre avec les micronations qui ne sont pas reconnu en tant qu’État à pouvoirs étatiques et régaliens.

… HIERARCHIE …

Sur le plan hiérarchique, les Évêques restent en Titre les plus élevés.

Un Évêque seul peut fonctionner sans Églises et en se mettant en autonomie.

Le Pape et le Patriarche Orthodoxe sont en égalité absolue en termes de hiérarchie.

Seulement, les Orthodoxes ont préservé la tradition de clans indépendants alors que la papauté, non.

Un Patriarche Orthodoxe, est un Évêque.

… CONCLUSION EVEQUE – PAPE – PATRIARCHE ORTHODOXE ET LES ORDRES DE CHEVALERIE …

Si l’on se base sur l’Histoire du Droit impérial romain de l’antiquité ;

Si l’on se base sur l’Histoire des Successions Apostoliques ;

Si l’on se base sur qu’est-ce qu’un Évêque, un Pape aujourd’hui et un Patriarche Orthodoxe ;

Nous pouvons facilement conclure ce qui suit ;

1. Afin qu’un Ordre de Chevalerie du 3^e millénaire (21^e siècle) puisse être vrai, légitime tant en existence qu’en titre, il est obligatoire d’avoir l’appui d’une Église chrétienne officielle et légitime et notamment, l’appui soit d’un Évêque, soit du Pape, soit d’un Patriarche Orthodoxe.

2. Au vu des origines de la Chevalerie occidentale, les Ordres de Chevalerie de nos jours doivent être œcuménique tout en respectant l’Église qui légitimise l’Ordre et les rituels de celles-ci.

L’œcuménisme n’étant pas l’acceptation de tous en rejetant la tradition qui nous permet de fonctionner. Mais étant l’acceptation de tous en respectant la tradition qui nous permet de fonctionner tout en respectant les différences cultuelles et culturelles des autres.

3. Au vu que l’Histoire du Droit Impérial de l’antiquité romaine, nous pouvons également conclure les termes importants qui suivent :

a) Le Droit impérial romain réside de nos jours dans le Droit international relatif au Droit intemporel (domaine assez méconnu, encore de nos jours). Dans ce domaine bien particulier, réside le Droit des Successions intemporelles (dont les successions apostoliques).

De ce fait, les Églises officielles, légitimes et Apostoliques, sont de fait reconnu comme indépendantes et souveraines avec possibilité de droits étatiques et régaliens.

b) En considérant l’alinéa « a. » de ce paragraphe 3, nous pouvons conclure ce qui suit :

En gardant à l’idée que nous sommes au 21^e siècle, le Pape et les Patriarches Orthodoxes étant les dignitaires les plus élevés des Églises chrétiennes légitimes et apostoliques catholique-romaine et orthodoxe, l’Ordre de Chevalerie qui serait reconnu en tant qu’Ordre pontifical ou Ordre patriarcal, est lui aussi reconnu, de fait, comme Ordre de chevalerie indépendant et souverain. Avec possibilité de droits étatiques et régaliens.